• GRUISSAN

    Gruissan comprend 3 parties :

    GRUISSAN VILLAGE

     

    Situé à 16 km de Narbonne, le village de pêcheurs traditionnel n'a pas subi un "développement touristique". Il a donc réussi à maintenir beaucoup de son caractère d'origine. Les rues étroites tournent autour de la tour du 13ième siècle, la Tour Barberousse, à partir de laquelle le panorama de l'étang et des collines boisées est impressionnant. La tour a été construite en 1246 pour protection contre les pirates venant de Turquie - le nom est pure fantaisie car Barbarrosa, le vrai Barberousse, ne s'est jamais approché de cette partie du monde! 

      

    La Tour Barberousse

     

                                     

     L'Hôtel  de ville

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    LE PORT DE GRUISSAN

    Il s'est agrandi avec le port de plaisance, base maritime majeure de la Méditerranée. Les amateurs de bateaux et de loisirs nautiques apprécieront ses quais piétonniers où clubs de voile, de pêche et bateaux promenades les attendent. Le port a été créé dans les années 70 en creusant un canal entre l'Étang de Grazel et la mer. Gruissan offre plus de 1000 postes de mouillage, avec toutes les facilités d'un port de plaisance moderne.

    Le port de gruissan

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    GRUISSAN PLAGE ET SES CHALETS SUR PILOTIS

    Les chalets apparaissent dans les années 1850, époque des premiers bains de mer. Construits en bois par les narbonnais, ce sont des résidences de vacances occupées seulement durant la période estivale, sans relation avec les pêcheurs du village. Le chemin d’accès n’était d’ailleurs praticable qu'en été. Une forte tempête de sud-est en 1899 a tout emporté et les maisons actuelles ont été construites au début du XXème siècle, sur pilotis pour échapper aux inondations destructrices. Les chalets de Gruissan-Plage A l'origine sans eau ni électricité, les chalets ont été modernisés depuis. Ils offrent toujours cette ambiance conviviale de vacances à la plage. Désormais, une digue longeant la plage et offrant une promenade sur le front de mer les abrite des hautes eaux d’hiver. Curiosité aujourd’hui, les chalets ont servi de décor au film "37,2 le matin" de Jean-Jacques Beineix.

     

    chalet

     

    Si vous voulez plus de renseignements :

    http://www.gruissan-mediterranee.com/decouvrir_gruissan.php

     

     


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  • DESSERT BRESILIEN A LA CREME




    Préparation ; 25 mn
    Cuisson : 30 mn

    Ingrédients ;
    125 g de farine
    2 oeufs
    125 g de sucre en poudre
    100 g de beurre
    1 sachet de levure chimique
    1 cuillerée à soupe de café soluble
    1 cuillerée à soupe de rhum


    Pour la crème anglaise :
    1/2 litre de lait
    1 cuilerée à café de vanille en poudre
    3 jaunes d'oeufs
    50 g de sucre en poudre

    Pour la garniture :
    2 tranches d'ananas

    Pour le moule ;
    15 g de beurre







    1°) Tamisez la farine.  Casser les oeufs dans une terrine. Ajoutez leur le sucre, battez au fouet jusqu'à ce qu'ils moussent, ajoutez la farine et la levure. Faites fondre le beurre sans le laisser bouillir, ajoutez le aux autres  aliments  ainsi que le café soluble délayé dans le rhum. Mélangez bien ces éléménts pour obtenir une pâte lisse.. Beurrez un moule à manqué. Versez-y la pâte. Faites cuire 30 mn à four moyen.


    2°) Préparez la crème. Faites chauffer le lait, travaillez les jaunes d'oeufs avec le sucre  jusqu'à ce que le mélange soit en crème. Ajoutez la vanille, délayer avec le lait chaud. Remettez à feu très doux. Laissez épaissir en évitant soigneusement l'ébullition.. Retirez du feu dès que la crème nappe la cuillère. Refroidissez la crème rapidement en trempant la casserole dans un récipient d'eau froide. Laissez refroidir.






    3°) Démoulez le gâteau. Laissez le refroidir. Déposez-le au centre d'un compotier. Garnissez-le avec les ananas coupés en dés. Nappez avec la crème anglaise. Servez très frais.


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  • LE JASMIN DE MADAGASCAR



    Appelée aussi le Stéphanotis, cette plante sarmenteuse aux belles feuilles

    coriaces et luisantes offre des inflorescences blanches et odorantes. Les fleurs tubulées à la base s'ouvrent en étoiles, elles sont groupées à l'aisselle des feuilles. Le Stephanotis est une plante d'appartement qui demande un température qui ne doit pas descendre au-dessous de 15° même en période de repos. Durant la belle saison, qui coïncide avec sa période de floraison, vous arroserez la plante très régulièrement sans toutefois la noyer! Un apport d'engrais liquide pour fleurs tous les 15 jours lui assure un bon développement. En hiver, vous laisserez bien sécher la motte avant d'apporter de l'eau. Le jasmin de Madagascar apprécie les vaporisations durant l'été afin de lui garantir assez d'humidité. Le Stephanotis, par sa nature, pousse beaucoup; vous devrez donc le tailler de temps à autre en fin de floraison, afin d'éviter qu'elle se dégarnisse à la base. C'est attaché à un treillage ou bien tuteuré qu'il donne le meilleur de lui. Cette plante d'appartement, facile à garder, se plaît bien à la lumière, juste derrière un voilage. Le parfum que dégage les fleurs est très agréable. Dommage que cela soit une plante d'appartement car j'aurais bien aimé en garnir le grillage de la clôture. Bien sur il existe le jasmin extérieur mais je ne le trouve pas aussi beau et parfumé.

    Zoom sur les fleurs
     
     
     
     LA HOYA BELLA


    Cette plante grimpante porte le nom courant de Fleur de porcelaine. Le Hoya tient son nom d'un anglais, Thomas Hoy, qui était le jardinier en chef du duc de Northumberland à la fin du 18ème siècle, au château de Syon House, en Angleterre. Cette plante est surtout très décorative par ses ombelles de fleurs en forme d'étoile et parfois parfumées. Les feuilles sont charnues, vert foncé et légèrement cireuses. Sa croissance est rapide, elle est robuste et facile à vivre. Toutes les pièces de la maison peuvent accueillir cette plante succulente originaire d’Asie et d’Australie, à condition d’être lumineuses.
    Son parfum ressemble à l'odeur du jasmin en plus discret.



    Zoom sur une fleur

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  • EN ECOUTANT JONASZ         

     

    On allait au bord de la mer,

    Avec mon chien, mon père, ma mère

    Et Comme dans la chanson de Jonasz,                                        

    On savourait des glaces.

    C'était la balade du dimanche,

    On allait jusqu'à Arromanche.              

    Mon père regardait les bâteaux          

    Il les prenaient en photo.

    En les regardant, il rêvait,

    Dans sa tête, il voyageait.

    Plus tard il en a eu un,

    Il était heureux comme un gamin.

     

    En écoutant Jonasz,

    Je verse des milliers de larmes.

    Les souvenirs sont tenaces

    Et chaque fois mon coeur se désarme.

     


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    LE BONOBO




    Le chimpanzé est notre proche cousin. Mais le bonobo,dont je ne connaissais même pas l'existence, un singe d'Afrique centrale apparenté au chimpanzé, est encore plus proche. Génétiquement et biologiquement. Voire socialement: il présente une organisation sociale et des traits culturels uniques en son genre dans le monde animal. Entre autres, un rôle prédominant joué par les femelles et une sexualité débridée. Mais à l'instar de milliers d'autres espèces animales, il est en voie de disparition. Plus les mois passent, et plus les rapports des chercheurs des années 2002-2003 se confirment: la chasse altère à ce point son environnement que le bonobo est de plus en plus difficile à trouver –et moins les chercheurs savent où il est, moins il est possible de le protéger. Ou du moins, de protéger ceux qui restent. Un nouveau recensement de la forêt Lomako, une zone de 3600 kilomètres carrés située au Congo, a permis d'observer davantage de bonobos que prévu, mais davantage dispersés qu'auparavant, ce qui signifie qu'il y a moins de nids qu'avant. Ce qui explique aussi, au passage, que certains recensements des dernières années n'en aient pas vu un seul.


    Selon Jeff Dupain, de la Fondation africaine de la faune à Kinshasa (Congo), qui a dirigé cette dernière étude, les pressions accrues des chasseurs ces dernières années –chasseurs qui sont eux-mêmes poussés par la famine, la pauvreté et les guerres civiles– sont une cause probable de la dispersion des bonobos: ceux-ci sont progressivement poussés hors de leurs habitats traditionnels. Le même constat a été posé à quelques reprises, ces dernières années sur les gorilles d'Afrique centrale. Mêmes causes: braconnage, misère humaine, guerres civiles. Mais on a traditionnellement moins parlé des bonobos, parce qu'ils sont moins médiatiques que les gorilles –et parce que les chercheurs ont plus de mal à les observer, donc à en parler en connaissance de cause. Jeff Dupain lui-même avait mené un semblable recensement dans la forêt Lomoko en 2002, et n'avait compté que le quart des bonobos qu'il s'attendait à trouver. En décembre, la Fondation mondiale pour la nature publiait un recensement majeur des bonobos, incluant le Parc national Salonga, le seul endroit de la planète où ces singes sont protégés. Les chercheurs en ont trouvé si peu qu'il leur fut impossible de dire avec certitude combien il en restait. La dernière étude Dupain rassurera donc en partie les chercheurs: oui, les bonobos sont encore là. Mais leurs plus proches cousins ne sont pas des membres de la famille dignes de confiance...

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